Dans la Guemara, il y a une phrase qu'il faut approfondir : « Même le père et son fils, même le Rav et son élève, lorsqu'ils étudient la Torah ensemble, ils deviennent ennemis l'un pour l'autre. » Cela signifie que pour apprendre la Torah, il faut être antagonistes.
Il y a une différence de nature entre l’exigence iranienne de s’envelopper d’un hijab long et épais et le désir d'Israël de se déterminer par rapport à la pudeur dans son essence même.
Il y a une histoire incroyable dans la Bible sur le roi Achab. Comme on le sait, Achab était un roi impie, mais il était aussi un roi animé de valeurs nationales, un authentique patriote. À tel point que lorsqu'il fut blessé au combat, et qu'il comprit que son dernier jour était arrivé, il s'efforça de se maintenir debout sur son char, malgré ses blessures.
Le Rabbi de Munkacs a écrit que prier pour la paix prolonge l'exil, mais il faut prier pour la rédemption (Darkei Haim veChalom, p.213). Il se base sur les paroles du Hatam Sofer selon lesquelles prier pour la paix retarde la délivrance, comme le disent nos Sages : "la guerre est aussi le début de la délivrance" (Méguila 17 b). C'est pourquoi il faut prier pour la rédemption et ne pas craindre du tout la guerre" (Sefer Hazikaron du Hatam Sofer).