Avant le chabbat de Sim'hat Torah, nous avons pu entendre des choses effroyables, telles que « Je ne suis pas ton frère », « Nous sommes deux peuples », « Nous n'avons plus l'intention de nous enrôler à l'armée » et bien d'autres encore. Mais soudain, tout a changé. Tous, ou presque, ont retrouvé une merveilleuse unité, les pourcentages d’enrôlement dépassent les 100%, et même certains sont revenus de l'étranger, dès qu'ils ont pu venir rejoindre leurs frères.
Dieu merci, nous sommes en train de gagner la guerre. Bien sûr, nous n'aimons pas du tout la guerre, nous détestons la guerre, nous aimons toute l'humanité - mais si nous sommes attaqués, nous nous défendons, et nous sommes obligés de vaincre, et nous vainquons.
La guerre dans laquelle nous nous trouvons est caractérisée par une grande incertitude. Nous ne savons pas de quoi sera fait le lendemain, tant en ce qui concerne le destin individuel des otages et la situation des combats, que de l'extension de la bataille et de son ampleur.
Texte traduit par Machiv Harouah
Dimanche 12 novembre s’est tenue en France la manifestation contre l’antisémitisme. 120.000 personnes ont défilé dans les rue de France. Pour une fois il y a un progrès ; cette manifestation n’est pas associée à celle contre le racisme, où défilent généralement, avec beaucoup de décontraction diront les uns, pour refuser de nommer clairement les choses diront les autres, ceux qui sont victimes de racisme, et en même temps, souvent les mêmes qui sont susceptibles d’être taxés d’antisémitisme