« Un Tsaddik va toujours à la prière avec un parapluie. »
« On est jugé sur la part de liberté qu'on avait dans le choix. »
« Le véritable aîné c'est celui qui sait qu'il y a quelqu'un avant lui. »
« Ne croyez pas que Jacob a accepté la vocation d'Esau. Il l'a refusé. »
« On ne peut pas partager l'étude. On étudie seul et après on la met en commun. »
« La vertu de la foi, c'est un consentement à adhérer par certitude en l'absence de preuves. »
« La grâce est donnée à celui qui ne mérite pas car si il méritait on n'aurait pas à le gracier. S'il mérite ce n'est que justice de le gracier. »
« La définition fondamentale que la Torah donne de l'homme c'est qu'il est capable de parole. »
« Quand le mal se déclare à vous avec son visage de mal, il n'est pas dangereux, on sait qui il est. »
« Tant qu'on n'est pas mis à l'épreuve, on ne sait pas qui on est. »
« Le drame de la mystique exagérée qui se condamne à un enfer perpétuel car ils ont quand même un corps. »
« Sur la prière : Il y a un certain état de fonctionnement du monde et je juge pour des raisons qui me sont propres de le modifier, donc c'est une entreprise insensée. »
« Sur la prière : Demander à Dieu de changer sa volonté. C'est pourquoi il y a une réticence des tsaddikim à prier. Ils ont peur. »
« Un Tsaddik total ne prie pas pour demander. Pour les autres oui, mais pas pour lui. »
« Un conditionnement ça peut se briser, pas une détermination. »
Rav Yossef ATTOUN, Machiv Harouah
Olivier Cohen
Metzora : Le sens du Shabbat hagadol
