« Nous sommes créés dans l'existence en vue de mériter d'être. La finalité de la morale c'est de mériter d'avoir été créé. »
« Chaque personne vit simultanément dans deux mondes. »
« La Torah c'est une révélation de sagesse que Dieu nous révèle, pour la vie dans le monde qu'il a créé. »
« Il y a un grand principe : il n'y a pas de mort s'il n'y a pas eu de faute. »
« C'est simplement l'habitude qui nous fait croire que c'est naturel de mourir. »
« Pêcheurs, c'est une hérédité de damnation. On a fauté avant même de naître. »
« Ce serait là la place de l'homme en tant que créateur : inventer la sainteté de l'homme. »
« Nous sommes dans un temps ou le ciel est loin de la terre. »
« Le temps ou le ciel était sur la terre, c'est le temps de l'histoire des patriarches. »
« La vie, c'est une aventure de conquête de mérite d'être a posteriori de la naissance. »
« Lorsque l'examen a pris fin, alors on est libéré de ce risque qui fait que la liberté, c'est la liberté de fauter. »
« Israël a été la seule option humaine à refuser radicalement ce dualisme entre la vérité et la réalité, alors que toutes les autres cultures ont renoncé à cette exigence d'unité »
« C'est probablement là la place de l'homme : arriver à faire coïncider le monde de réalité avec le projet de vérité. »
« Tout est déjà créé, dans la perspective du HOLAM HABA. »
« La Torah veut parler de l'histoire humaine comme étant l'effort d'un projet à accomplir. »
« L'habitude, c'est le résultat d'un acte qui a été libre à l'origine. »
« Qu'est-ce que c'est faire une faute ? C'est se choisir sa loi. »
« La rédemption de la faute du 1er homme commence avec le roi David, et la conscience messianique du peuple d'Israël, à partir du roi David, consiste à attendre celui qui réalisera la rédemption de la faute du deuxième homme.La rédemption de la faute du 1er homme commence avec le roi David, et la conscience messianique du peuple d'Israël, à partir du roi David, consiste à attendre celui qui réalisera la rédemption de la faute du deuxième homme. »
« L'effort de l'étude en vue de résoudre le problème moral, c'est d'arriver à distinguer, dans chaque cas qui se présente à la conscience, le côté du bien et le côté du mal. »
« Tout l'effort de la connaissance aura pour objectif principal de pouvoir séparer le bien du mal. »
« Nous sommes une identité humaine, rangée dans l'histoire depuis le premier homme, qui rejoint le problème qu'elle a à résoudre chaque fois qu'il se pose à l'humanité. »
« Il s'agit d'un récit qui donne à la notion du temps une importance centrale. A travers le temps il se passe quelque chose. Il y a un point de départ et un projet qui va vers un certain avenir à accomplir. »
« Il n'y a pas écrit : Ce fut soir ce fut matin jour 7. Tout se passe comme si toute l'histoire du monde de l'homme qui apparaît à la fin du sixième jour est logée dans un grand septième jour. »
« Il y a un projet de septième jour qui travaille dans l'histoire humaine. »
« Sur VAYEHI HEN : quand on dit en français, il en fut ainsi, c'est que c'est ce qu'on attendait s'est réalisé et en hébreu c'est le contraire, il n'en fut qu'ainsi, il n'y a eu qu'un comme de cela. »
« YOM EHAD jour unique. On s'attendait à ce qu'il y ait YOM RICHON, jour premier. Le jour est unique ? 1 et unique ce n'est pas exactement la même chose. »
« C'est important de percevoir qu'il y a un passé et que j'hérite du monde à un certain stade de ses tentatives. »
« On entre dans un monde qui a déjà commencé et où il y a des déchets d'échecs antérieurs. C'est d'abord le problème de l'insertion dans la famille, puis dans la société, puis dans le monde. »
« L’étude ne se fait pas de bouche à oreille car si on sait ce que la bouche a dit on ne sait pas toujours ce que l’oreille a entendu. Il faut étudier de bouche à bouche, pour que la bouche répète ce que la bouche a dit. »
« Ce serait là la place de l'homme en tant que créateur : inventer la sainteté de l'homme. »