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INSTRUCTIONS CONCERNANT LES PRÉPARATIFS DE PESSAḥ POUR L’ANNÉE 5781

par Elyakim P. Simsovic, le 18/03/21

 Instructions concernant les préparatifs de Pessaḥ pour l’année 5781

 

Compilées par Elyakim P. Simsovic

 

 

דברים בענין

ערב פסח שחל להיות בשבת

ע"פ מהדורה ראשונה

משנת שמועה טובה תדש"ן עצם לפ"ק

 

מפי ספרים ומפי סופרים מלוקטים

ע"י אליקים חיים געצל בן ר' יקותיאל זלמן שמשוביץ ז"ל

 לעורר את העם על השינויים המתחייבים מכך

להלכה למעשה כל אחד ישאל פי חכמי עדתו

 

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AVERTISSEMENT

 

Les règles qui suivent ne constituent qu’un aide-mémoire très général destiné à mettre en évidence les particularités des préparatifs de Pessah en cette année 5781, la veille de la fête tombant un Chabbat (qui sera donc Chabbat ha-Gadol, parachat Tzav, 27 mars 2021). Pour toutes les questions de détail, il y aura lieu de se référer à une autorité rabbinique compétente. Il y aura notamment lieu de se reporter à un horaire précis valable pour le lieu de résidence concernant les heures d’interdiction et d’annulation du Ḥametz la veille de Pessah). Les heures que nous indiquons éventuellement sont celles de Jérusalem.

 

Les coutumes varient grandement d’une communauté à une autre. Chacun devra donc vérifier auprès des Maîtres de sa communauté la meilleure manière de surmonter les difficultés posées cette année par le calendrier.

 

Notre propos n’a pas été de donner un guide complet des règles concernant les diverses pratiques de la veille de Pessah en général (Bédiqath ḥametz, Biŭr et Biṭoul Ḥametz que nous supposons connues) mais seulement d’attirer l’attention sur les changements imposés par le fait que cette année Pessah commence à la sortie du Chabbat, tant pour ces pratiques elles-mêmes que pour les conséquences quant aux repas du Chabbat et les restes de Ḥametz provenant de ces repas.

 

A noter qu’en Israël on passe à l’heure d’été le vendredi 26 mars 2021.

 

Nul ne doit considérer le texte qui suit comme tranchant la halakha sur quelque question litigieuse que ce soit, le rédacteur n’ayant ni qualité ni autorité en la matière.

 

1ère Section : Les mitzvoth de la veille de Pessah

 

L’ordre normal (pas cette année) des activités de la veille de Pessah est le suivant :

 

  • Le 14 Nissane à la tombée de la nuit on fait la Bediqath Ḥametz à la lumière d’une flamme.
  • Le 14 Nissane est le jour du jeûne des Premiers-nés, de l’aube à la tombée de la nuit.
  • L’interdiction de consommer du Ḥametz entre en vigueur à la fin de la 4ème heure du jour.
  • On brûle le Ḥametz jusqu’à la fin de la 5ème heure du jour et on prononce la formule d’annulation.
  • On n’est plus supposé effectuer quelque activité professionnelle que ce soit – sauf pour éviter une perte importante – après la 6ème heure du jour (midi). On n’a pas l’habitude de manger après la 10ème heure du jour.

 

(Si on suppose que la journée débute à 6 heures du matin (heure de l’horloge) et que le jour et la nuit sont de longueur égale, la 4ème heure du jour correspond à 10 heures du matin (heure de l’horloge), la 5ème heure à 11 heures, la 6ème à midi et la 10ème à 4 heures de l’après-midi).

 

  1. LeSédère de Pessah aura lieu cette annéeבע"ה le 27 mars à la sortie du Chabbat, le 15Nissane tombant un dimanche. En conséquence :
    • on ne peut pas faire la Bediqath Ḥametz le 14 au soir qui est un vendredi puisqu’il est interdit de transporter une flamme le Chabbat.
    • Les Premiers-nés ne pourront pas jeûner le 14 puisque le seul jeûne autorisé un Chabbat est celui de Kippour.
    • On ne peut pas brûler le Ḥametz le 14 à cause du Chabbat.
    • On doit avoir du Ḥametz chez soi pour les repas de Chabbat du vendredi soir et du Chabbat matin, puisqu’on n’a pas encore le droit de manger de la Matza et qu’on doit manger du pain pour le Motzi. (Ceux qui utilisent de la Matza enrichie (matza achira) vérifieront la manière de procéder)

 

Les règles qui suivent sont destinées à résoudre l’ensemble des difficultés énoncées ci-dessus.

 

  1. Le jeûne des Premiers-nés sera observé le jeudi 12 Nissan (25 mars). En cas de problème, l’observance du jeûne est soumise à des règles moins strictes que les autres années du fait qu’il est déplacé. Certains sont d’avis qu’on peut racheter ce jeûne par un don à la Tzédaqa. La coutume qui permet de supprimer le jeûne par la participation à une séŭdath mitzva s’applique également. Certains s’efforcent d’ailleurs de participer à une séŭdath mitzva également le 13 Nissane.

 

  1. Bédiqat Ḥametz. La recherche du Ḥametz sera effectuée selon toutes ses règles habituelles, y compris les bénédictions, le jeudi soir 25 mars, avant-veille de Pessah. En effet, on doit faire cette recherche à la lumière d’une flamme et non à la lumière du soleil. Or, vendredi soir, qui serait la date normale, on ne peut y procéder à cause du Chabbat.

On n’est pas supposé faire un vrai repas avant la recherche du Ḥametz et ceci s’applique également aux Premiers-nés qui jeûnent. On pourra cependant, si nécessaire, manger des gâteaux (jusqu’à 91 grammes) ou des fruits et légumes et boire des boissons autre que du vin, ce qui ne constitue tout au plus qu’un « goûter » (טעימה).

Il faudra prendre soin de conserver le Ḥametz nécessaire aux repas depuis le jeudi soir jusqu’au 2ème repas de Chabbat de manière qu’il ne puisse s’éparpiller.

Après la recherche du Ḥametz, on aura soin de ne manger qu’en un seul endroit qui ne soit pas la table où sera célébré le Sédère, dans toute la mesure du possible. On ne mangera en tout cas qu’au dessus d’une nappe lisse, de préférence en tissu synthétique étanche. Après chacun des repas, on secouera la nappe dans un lieu public (מקום הפקר) où les oiseaux pourront manger les miettes mais pas dans un endroit où les gens marchent.

Il y aura lieu de surveiller spécialement les petits enfants qui ne savent pas faire attention par eux-mêmes.

 

  1. Biour Ḥametz : La destruction du Ḥametz aura lieu le vendredi 26 mars. On pourra brûler le Ḥametz recueilli lors de la Recherche jusqu’à 1 heure avant le milieu de la journée (vers 11 heures) ; il est toutefois préférable de le brûler jusqu’à l’heure légale les années normales, soit 10h28. Dans tous les cas on brûlera le Ḥametz sans réciter les formules d’annulation rituelles.

Le vendredi 26 mars on est autorisé à manger du Ḥametz toute la journée sans restriction, avec les précautions rappelées ci-dessus.

 

  1. L’interdiction de consommer du Ḥametz la veille de Pessah au delà de la quatrième heure du jour s’applique également cette année et il faudra donc avoir terminé les prières du Chabbat matin de telle sorte à avoir le temps de rentrer chez soi faire qiddouche et motzi avant la fin du premier tiers de la journée (6h32 ; הנץ החמה = 5h23עלות השחר = ). Il est interdit de consommer du Ḥametz à partir de 10h39.

Æ Voir dans la deuxième section les règles concernant les repas de Chabbat.

 

  1. Bitoul Ḥametz: Jusqu’à au plus tard la 5ème heure du jour, soit 11h42 du matin on devra s’être débarrassé de tout Ḥametz éventuel et on procèdera alors à l’élimination rituelle du Ḥametz en prononçant la formule d’annulation que l’on dit les autres années lorsqu’on brûle le Ḥametz.

 

  1. Minḥa et Séouda Chlichith: Une demi-heure après la moitié de la journée (à partir de 13h18) on priera Minḥa de telle sorte à pouvoir consommer le 3ème repas de Chabbat (סעודה שלישית) avant la fin de la dixième heure du jour (qui commence à 15h50). Ce 3ème repas sera fait sans motzi ni birkat hamazone puisqu’on ne peut plus manger de ḥametz et qu’on ne peut pas encore manger de la matza. Les Séfaradim qui on coutume de manger veille de Pessah de la matza achira (matza enrichie de jus de fruit, de vin ou d’autres ingrédients en plus ou au lieu de l’eau) feront bien de consulter l’autorité de leur communauté à ce sujet, autant pour la consommation elle-même que pour la bénédiction appropriée.

 

  1. À la tombée de la nuit, après la sortie du Chabbat (19h21), les femmes récitent la formule de séparation (sans le nom de Dieu) : Baroukh hamavdil ben qodèche léḥol, ben or léḥochèkh, ben Yisraël laămim ben yom hachéviĭ léchéchèth yemé hamaăssé. Baroukh hamavdil ben qodèche léquodèche. Puis elles allument les lumières de la fête (bougies ou lampes à huile) avec les bénédictions d’usage, à partie d’une flamme qui sera restée allumée depuis la veille avant Chabbat ; après quoi seulement elles peuvent entreprendre les préparatifs de la fête (Æ Voir ci-dessous §10).

 

  1. Havdala: Après la prière du soir on rentre chez soi et on finit de préparer la table duSédère. Dans leQiddouche on intercalera la formule de laHavdala telle qu’elle figure dans lesHaggadoth et les livres de prière. L’ordre des parties duQiddouche est le suivant (יקנה"ז) :
    • Borépéri haguéfène (יין)
    • Acher baḥar banou... Meqadèche Yisraël véhazémanim (קידוש)
    • Boréméoréhaech (נר)
    • Hamavdil beyn qodèche le ḥol... Baroukh ata Adonaï hamavdil beyn qodèche léquodèche (הבדלה)
    • Chèhèḥéyanou... lazmane hazé(זמן)

Æ On prendra garde à s’asseoir pour boire le vin du qiddouch qui est en fait la première des coupes ponctuant le déroulement du Sédère.

 

On ne fait pas de bénédiction sur les parfums [boré miné (ătzé) bessamim].

 

  1. On fera très attention à ne rien préparer en vue de la fête durant le Chabbat. Le Plat du Sédère sera préparé depuis la veille du Chabbat, notamment le zeroă, l’œuf (bétza), le ḥarossète et l’eau salée. Ceux qui utilisent du raifort pour le maror devront le râper avant Chabbat ; le raifort râpé sera conservé dans un bocal fermé jusqu’au samedi soir. La laitue devra être vérifiée avant Chabbat. De même, tous les travaux nécessaires à la préparation du Sédère et des autres repas et qui sont interdits les jours de fête devront avoir été effectués dès le vendredi avant Chabbat.

 

2ème section : Les repas de Chabbat :

 

On évitera pour les menus des repas de Chabbat tous mets comportant de la farine de céréales quelles qu’elles soient. On prendra soin d’éviter que la nourriture n’attache aux casseroles. Dans certaines communautés on ne prépare pas pour le repas de Chabbat midi des plats qui doivent passer la nuit au four ou sur la plaque chauffante, celle-ci étant déjà préparée (cachérisée) pour Pessah. Il n’y a d’ailleurs aucun interdit à préparer des plats à base de riz et de légumineuses (קטניות) – y compris pour ceux qui ne consomment pas de ces aliments pendant Pessah même – et à les chauffer sur la plaque toute la nuit si on dispose d’une plaque ou d’un four séparé pour ce repas Ḥametz.

 

Même ceux qui ne disposent pas d’un four ou d’une plaque séparée pourront préparer dans des casseroles neuves des plats à base de riz ou de légumineuses et à plus forte raison tous plats à base de légumes et à les conserver au chaud sur la plaque déjà cachère pour Pessah (on ne devra toutefois pas se servir de ces ustensiles pendant Pessah). Bien entendu, il faudra alors prendre garde qu’il n’y ait aucune éclaboussure ni débordement sur la plaque chauffante (si cela devait arriver il faudrait à la sortie de Chabbat brûler l’emplacement taché jusqu’à ce qu’il n’y reste aucun résidu de nourriture. Essuyer ne serait pas suffisant).

 

D’une manière générale, on s’efforcera de ne pas porter atteinte à la joie du Chabbat par des surcroîts de précautions inutiles qui seraient de nature à transformer un repas de Chabbat en un « pique-nique » triste et nerveux.

 

Pour résoudre tous ces problèmes, certains on pour habitude de ne plus cuisiner depuis jeudi soir que de la nourriture cachère pour Pessah, préparée dans de la vaisselle cachère pour Pessah et servie dans de la vaisselle neuve ou dans des assiettes jetables. Pour éviter tout accident, on fait alors la bénédiction sur le pain dans un endroit séparé ; on prend soin de couper le pain (pita de préférence) de telle sorte qu’il s’émiette le moins possible et de le manger tout entier. Après motzi, on se relave les mains, on se rince la bouche et on continue le repas sans pain. On fait la bénédiction après le repas là où on a fait motzi si le lieu où on a fait motzi n’est pas visible du lieu où on a mangé le reste du repas.

 

Une solution élégante est proposée par le rav Shaoul David Botschko pour les Ashkénazim : faire cuire ou frire des matzoth dans de l’huile ce qui leur retire le caractère de matza mais leur conserve le caractère de pain. De cette manière, on pourra avoir Chabbat un repas entièrement « cachère le-Pessah » en faisant motzi sur des matzoth qui n’en sont pas et qui sont pourtant un pain qui n’est pas Ḥametz.

 

Les Séfaradim qui ont coutume de manger la veille de Pessah de la matza enrichie (מצה עשירה) peuvent ne plus du tout avoir de Ḥametz chez eux depuis le jeudi soir et en tout cas depuis vendredi avant Chabbat. Ils devront toutefois interroger une autorité compétente de leur communauté concernant les questions de détail portant sur les quantités et les bénédictions.

 

Tout le Ḥametz qui subsisterait des repas de Chabbat devra être éliminé de la possession du Juif avant la fin de la 5ème heure du jour (11h42) soit qu’on le donne à un non-Juif, qu’un animal domestique puisse le manger ou qu’en dernier ressort on le vide dans les toilettes. Certains autorisent de l’enfermer dans un sac poubelle étanche qui devra être déposé sur la voie publique (מקום הפקר) s’il n’y a aucun autre moyen et à condition qu’il soit permis de transporter du domaine privé au domaine public là où l’on réside. Si aucun de ces moyens n’est disponible, on devra rendre le Ḥametz impropre à toute consommation y compris par un animal (נפסל מאכילת כלב) par exemple en versant dessus du savon liquide ou de l’alcool à brûler. On déposera ce Ḥametz soigneusement enveloppé avec le reste du Ḥametz qui aura été vendu avant Chabbat. Le Ḥametz qui serait ainsi resté des restes des repas de Chabbat, trop volumineux pour pouvoir être dispersé au vent ou jeté dans les toilettes devra être brûlé dès la sortie de la fête (dimanche soir après la tombée de la nuit – 19h21).

 

Le couteau à pain, la planche à pain et tous les ustensiles seront soigneusement essuyés (il faut tenir compte de ce qu’on n’a pas le droit de faire vraiment la vaisselle le Chabbat et que cette année on ne peut pas non plus la faire après Chabbat !) et rangés à l’endroit où se trouve le Ḥametz vendu avant Pessah. La nappe sur laquelle on aura fait motzi sera secouée dans un endroit public (מקום הפקר) ceci dans la mesure où l’on réside dans un endroit où il est permis de transporter du domaine privé au domaine public et sera, elle aussi, rangée avec les autres ustensiles Ḥametz.

 

Si le revêtement de sol de la maison est en carrelage ou en matière synthétique, on essuiera à l’endroit où on a mangé avec un balai souple ou recouvert d’un chiffon que l’on rangera aussi avec le Ḥametz vendu avant Pessah. Puis on se lavera les mains et on procèdera à l’élimination rituelle du Ḥametz en prononçant la formule d’annulation que l’on dit les autres années lorsqu’on brûle le Ḥametz. Tout ceci devra avoir été fait jusqu’à la 5ème heure du jour au plus tard, soit 11h42 du matin.

 

  

 

Avec des vœux de Pessah cachère vesaméah.

 

Puisse la Fête de la Liberté inaugurer pour nous et pour tout Israël l’ère de la délivrance parfaite et de la paix véritable pour le Peuple et pour la Terre
et, de là, à la terre entière

 

והיא שעמדה לאבותינו ולנו כו' אמן כי"ר

 


Remarques :

 

Détail liturgique

Dans la Bénédiction qui précède la deuxième coupe, on dit cette année ונוכל שם מן הפסחים ומן הזבחים  au lieu de מן הזבחים ומן הפסחים. En effet, à l’époque du Temple, le sacrifice de Ḥaggiga n’était pas offert le Chabbat.

 

Fréquence du phénomène

Il est à noter que si cette situation où Pessah tombe à la sortie du Chabbat est assez rare, elle se produit régulièrement de 28 à 29 fois par période de 247 ans, soit en moyenne tous les 8 à 9 ans. Cela s’est produit les dernières fois en 5737, 5741, 5754, 5765 et 5768. La prochaine fois sera en 5785.

 

יהי רצון שנזכה לעשות זבח פסח במועדו ואפילו בשבת! (פסחים ע"ז)

 

 

Autres conséquences

Les années où Pessah tombe à l’issue du Chabbat présentent un certain nombre de particularités qui provoquent des modifications dans les règles et usages habituels :

 

  • Pourim tombe un vendredi et pour les villes comme Jérusalem ou Jéricho le Chabbat (Pourim Méchoulache)
  • Les jeûnes du lundi-jeudi-lundi tombent à Pessah chéni
  • Lag BaŎmer tombe un vendredi
  • Roch Hodech Av tombe Chabbat
  • Roch Hodech Eloul tombe dimanche
  • Yom Kippour tombe un jeudi.

 

Avec l’aide de Dieu nous publierons pour Lag BaŎmer un récapitulatif des règles particulières pour ces diverses occasions.

 

Tableau des Horaires
(à compléter par vous-même en fonction de votre lieu d’habitation)

 

 

 

Date

Vendredi 26 mars

Chabbat 27 mars

 

Élimination du Ḥametz

Allumage

Lever

Interdiction du Ḥametz

Début de minḥa

Annulation du Ḥametz

Début de la 10ème heure

Fin du Chabbat

Ville

Aube

Soleil

מג"א

גר"א

מג"א

גר"א

Jérusalem

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tel-Aviv

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Haïfa

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nathanya

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Beershéva

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ashdod

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ashkélon

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sources et références

 

Talmud Bavli, traité Psaḥim pages 13a, 20b, 49a et commentaires, en particulier Halakha Broura et Birour Halakha du Rav A.I. Hacohen Kook זצ"ל.

 

Maïmonide, Michné Thora, Hilkhot Ḥametz ouMatza, III, 3 et commentaires.

 

Tour Orah Ḥayyim et le Choulhane Aroukh Orah Hayyim § 444 (סי’ תמ"ד) et leurs commentaires ; Choulhane Aroukh Harav de Rabbi Chnéour Zalmane de Lyadi, l’auteur du Hatania, §444, pp. 478-480 ; Ăroukh Hachoulḥane de Rabbi Yeḥiel Mikhal Halévi Epstein, Oraḥ Ḥayyim, §444, vol.3, pp.33-35

 

Choulḥan Ăroukh abrégé du Gd. Rabbin Ernest Weill, 2nde édition Paris 1968, Chap. 162, pp. 422-424.

 

Pour les Achkénazim, la base pratique est la Michna Broura de Rabbi Israël Méir Hacohen de Radine (Ḥafetz Ḥayyim).

 

Pour les Séfaradim, le Kaf Haḥayyim de Rabbi Yaaqov Ḥayyim Soffer.

 

Notre résumé est essentiellement fondé sur deux textes :

  • Séder Hapourim Haméchoulach Veséder Èrev Pessah Chèḥal Béchabbat, de Rabbi Yossef Ḥayim Sonnenfeld, publié à Jerusalem en 5670 (première édition en 5656, deuxième édition en 5659), 2ème partie.
  • Èrev Pessah Chèḥal Béchabbat Vépourim Haméchoulach, Halakhot Ouminhaguime Hachalem, ouvrage très détaillé de R. Tzvi Cohen, publié par la yéchiva Chaăré Thora, Institut des Hautes Études de la Thora dédié à Naphtali Zvi Yéhouda Berlin (Natziv) de Volozhine, Tel Aviv 5737 (1977) que l’on consultera avec grand intérêt. Pour notre résumé nous avons utilisé l’abrégé qui figure au début de l’ouvrage pp.19-22.

 

Nous avons aussi utilisé les feuilles d’instructions diffusées en 1974 par le Rav Isaac Yehiel Yakubovitz, Grand-Rabbin de Herzlya et en 1981 par les Grand-Rabbins de Ramat Hacharon, Rav Y. Edelstein et Rav D. Golan et par le Conseil Rabbinique de Herzlya en 2001.





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